top of page

đŸŒč Et si tu arrĂȘtais de tout encaisser ?


Féminité, dos à sa lumiÚre

Il y a des pĂ©riodes de vie oĂč l’on continue d’avancer, mais plus vraiment de vivre.

On garde le sourire, on gùre, on tient bon
 parce qu’on n’a pas le choix.

Et pourtant, Ă  l’intĂ©rieur, quelque chose se fane doucement.


Je vois tant de femmes dans cette énergie-là.

Des femmes fortes, prĂ©sentes pour les autres, mais absentes d’elles-mĂȘmes.

Des femmes qui traversent des tempĂȘtes, en silence.


🌑 Celle qui porte des masques

Elle sourit quand on lui demande si tout va bien.

Elle dit “ça va” pour ne pas dĂ©ranger.

Elle avance avec dignitĂ©, mais son cƓur crie fatigue.

Porter des masques, c’est souvent une question de survie.

Mais à force de se cacher, on s’oublie.

On se coupe de sa respiration, de ses envies, de sa vérité.


đŸŒč Celle qui vit un deuil

Le monde continue comme si de rien n’était.

Les messages de compassion se sont tus.

Et toi, tu te réveilles chaque matin avec ce vide immense à apprivoiser.

Personne ne t’a vraiment appris comment vivre avec l’absence.

Alors tu continues tant bien que mal,en espérant que le temps finira par recoller les morceaux.

Mais parfois, ce n’est pas le temps qu’il faut.

C’est de la prĂ©sence.

Une prĂ©sence Ă  soi, Ă  ton rythme, Ă  ton cƓur.


🌾 Celle qui porte tout

Tu tiens ton monde à bout de bras : les enfants, le travail, la maison, les émotions.

Tu fais tout pour que rien ne s’effondre. Mais à quel prix ?

Tu rĂȘves de souffler, d’un espace oĂč tu pourrais simplement ĂȘtre, sans devoir.

Tu rĂȘves d’une main qui ne te juge pas, qui ne t’exige rien, juste te soutienne.


🌞 Ce que ces femmes ont en commun

Elles ont un point commun : elles ne lĂąchent jamais.

Mais leur force les Ă©puise, car elle n’est plus nourrie par la joie,,elle est alimentĂ©e par la peur de tomber.

Et si, au lieu de “tenir”, tu apprenais à t’appuyer ?

Et si tu t’autorisais à poser ce poids que tu portes depuis trop longtemps ?


💛 De la douleur à la lumiùre

J’ai connu ces chemins.

Les masques, le deuil, la charge invisible.

J’ai longtemps cherchĂ© qui pouvait m’aider, j’ai essayĂ© tant de choses, avant de comprendre que ma lumiĂšre ne m’avait jamais quittĂ©e.

Elle était là, cachée sous les couches de peur, de honte, de silence.

J’ai appris Ă  respirer de nouveau, Ă  Ă©couter mon corps, Ă  danser avec ma vĂ©ritĂ©.

C’est ça, pour moi, la renaissance : le moment oĂč tu choisis de ne plus vivre Ă  moitiĂ©.


đŸŒ» Et si c’était ton moment ?

Ce texte n’est pas une leçon.

C’est un rappel.

Un souffle d’amour pour celles qui s’oublient, pour celles qui portent trop, pour celles qui ont mal mais continuent d’aimer.


Tu n’as pas à tout encaisser. Tu n’as pas à tout porter seule.

Ta lumiùre n’a jamais disparu. Elle attend juste que tu la reconnaisses. 🌞


✹ Pour aller plus loin

Commentaires


Liste de Posts
Suivez-moi
  • Facebook Basic Square
  • Twitter Basic Square
  • Google+ Basic Square
Recent Posts
bottom of page